Un appareil analogique coûte un tiers moins cher mais ses options sont limitées par rapport à celle du numérique. Il reste adéquat pour des travaux de reproduction courants comme les copies des documents textes. Le numérique qui offre plus de possibilité et de maniabilité est plus performant, notamment en qualité d’impression.
De même, une impression laser est plus nette mais pour des impressions photos fréquentes, le jet d’encre peut s’avérer plus intéressante.
La résolution traduit la qualité d’impression. Pour des travaux courants, un appareil d’entrée de gamme avec une résolution de 600 dpi peut convenir, mais pour des travaux, nécessitant un excellent rendu, comme les affiches et les plaquettes, il est préférable de tabler sur des appareils haut de gamme avec une résolution supérieure ou égale à 1200 dpi.
Pour un usage intensif du photocopieur et un grand volume de travaux de reproduction, il est préférable de miser sur un appareil avec une vitesse d’impression élevée. Elle est jugé au nombre de pages ou de copies par minute.
Un appareil tout-en-un, offrant plusieurs fonctions, peut s’avérer peu coûteux par rapport à plusieurs postes correspondant à chaque fonction. Dans ce cas, certains critères techniques comme la mémoire, la vitesse du modem, les formats du papier, pris en charge par le matériel ainsi que les diverses fonctions en option, doivent être pris en compte.
Le type d’activité et le volume de travail à accomplir détermineront le type de matériel à acquérir, que ce soit par achat ou par location.
Pour un usage privé, un particulier peut se contenter d’un appareil d’entrée de gamme qui permet d’assurer des travaux de reprographie courants.
Les entreprises se baseront sur leurs activités pour déterminer le type de photocopieur qui leur convient.
Pour pouvoir gérer le coût de la reprographie et la productivité, il est important de savoir estimer le coût de revient d’une page.